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    Le bureau de la section toulousaine CGT INRA

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  • Lire le tract d'appel en cliquant ici (pdf)

    Ce lundi 26 novembre, jour de l’ouverture des Assises nationales de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, a lieu une journée nationale d'action contre la précarité et pour l'emploi de titulaires, pour le service public de l'enseignement supérieur et de la recherche.

    Les établissements de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche sont gravement touchés par l’explosion de l’emploi précaire, l’absence de recrutements de titulaires, la stagnation des salaires et l’indigence des carrières.

    Aujourd'hui, plus d'un emploi sur cinq en volume est assuré par une personne en CDD, et ce ratio est en augmentation constante depuis plusieurs années. Ingénieurs, techniciens, personnels administratifs, chercheurs sont concernés par cette situation. Tous ces CDD sont empêchés de s'inscrire dans la durée tant d'un point vue social et personnel que professionnel ce qui est inacceptable. De plus, une partie de ce personnel se voit déjà interdit de resigner un nouveau contrat du fait de mesures internes prises par les différents établissements afin d'empêcher l'accès à un dispositif de pérennisation de l'emploi dans le cadre de la loi Sauvadet, dite de résorption de la précarité dans la fonction publique. Ajoutons que cette situation est totalement inefficace, tant du point de vue de la gestion administrative de ce personnel en roulement permanent, que du point de vue de la perte de compétence lorsque des collègues formés nous quittent. Des collectifs regroupant les précaires de l'enseignement supérieur et de la Recherche se créent un peu partout en France (Montpellier, Toulouse, Nice, Marseille, Paris...).

    Aujourd'hui, l’exigence, que nous portons, d’un plan de titularisation des contractuels répondant à des besoins permanents, quel que soit le support budgétaire, n’est pas entendue par le gouvernement. Le ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (ESR) annonce son intention de limiter l’emploi précaire. Cependant, il refuse d’augmenter la masse salariale sur la Subvention d’Etat. D'autres arbitrages permettraient pourtant cette augmentation pour pourvoir tous les emplois de titulaires libérés et ouvrir des perspectives sérieuses de transformation de CDD en postes de titulaires.

    Comme à Montpellier, où plus de 500 personnes ont déjà manifesté le 4 octobre, à Bordeaux, Marseille, Nice, Paris  Une manifestation aura lieu à Toulouse ce lundi 26 novembre, avec un rassemblement à 13H place du capitole pour se diriger vers la préfecture où une lettre du collectif toulousain des précaires de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche sera remise au préfet. A Toulouse, cette manifestation est organisée par la CGT (INRA, FERC-Sup, SNTRS), la FSU (SNESUP), Solidaires (Sud-Recherche EPST) et le SGEN-CFDT.

    Communiqué signer par
    CGT (INRA, FERC-Sup, SNTRS), la FSU (SNESUP), Solidaires (Sud-Recherche EPST) et le SGEN-CFDT.

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  • La Fonction publique, un atout indispensable Malgré l’annonce du rétablissement de 1000 postes d’enseignants à la rentrée 2012 sur les 13000 supprimés par le gouvernement Fillon, l’essentiel des premières mesures annoncées par le gouvernement Ayrault confirme une volonté de "maîtrise et de réduction des dépenses publiques", soit l’austérité ou la rigueur pour les fonctionnaires et le service public pour satisfaire les engagements européens de réduire la dette et les déficits publics.

    En effet, l’actuel gouvernement prévoit une baisse de 2,5 % des effectifs pour 2013-2015 (hors éducation, justice, police et gendarmerie) soit 15 000 emplois supprimés dans l’ensemble des ministères ce qui reviendrait à ne plus remplacer non pas un départ sur deux à la retraite mais 2 sur 3 comme cela est d’ores et déjà le cas aux Finances Publiques, mais 3 sur 4 voire 4 départs à la retraite sur 5.

    A cette destruction de postes, s’ajouterait une réduction de 7% en 2013 par rapport à 2012, de 4% en 2014 et 4% en 2015, soit 15% sur trois ans des dépenses de fonctionnement pourtant indispensables à l’action publique, ce qui altérerait fortement la qualité de service public rendu aux usagers, l’exercice des missions et dégraderait de manière significative les conditions de travail des agents.

    Sur le plan salarial, la même politique de rigueur est à l’œuvre puisque le gel du point d’indice se poursuivra pour la 3e année consécutive ce qui aura des conséquences néfastes, et ce, de manière durable pour le pouvoir d’achat des fonctionnaires. Les lettres de cadrage du gouvernement posent comme règle « de stabiliser en valeur les dépenses de personnels » et, d’ici à fin 2015, les ministères devront réduire « de moitié les crédits réservés aux mesures catégorielles ». (lire la suite)

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  • Des orientations qui nécessitent des moyens

    mardi 3 juillet 2012

    Le discours de politique générale prononcé cet après-midi par le Premier ministre, devant les Députés, marque une nouvelle orientation par rapport à la politique du gouvernement Fillon. Il affiche l’objectif d’un « redressement dans la justice » et ambitionne de conjuguer « justice et efficacité », « justice et compétitivité ».

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  • Communiqué de presse des syndicats et organisations de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche
    Non Titulaires : le gouvernement actuel ne doit pas poursuivre la politique du gouvernement Sarkozy

    Lorsque la Direction des Ressources Humaines du Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche a reçu les syndicats le 26 juin 2012, il est apparu qu'elle se tenait encore aux positions inacceptables du précédent gouvernement pour la stabilisation et la titularisation des personnels non titulaires.

    Force est de constater que le ministère accepte le dégraissage massif des CDD en place par les directions des établissements. La circulaire de recensement est inadaptée, ne permettant pas un recensement exhaustif des non titulaires. Le MESR applique de manière restrictive la loi du 12 mars 2012, notamment concernant l'accès à la catégorie A+ ou les contrats à multi employeurs. Le ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche doit donner un signe aux personnels, en rompant avec la politique précédente.

    Les syndicats et organisations de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche exigent :

    •  L'arrêt des non renouvellements des contrats des personnels éligibles à la titularisation et le rétablissement des droits des personnels potentiellement éligibles dont le contrat n'a pas été renouvelé depuis le 31 mars 2011.
    •  Le renouvellement des contrats de tous les personnels éligibles à la titularisation ainsi que la CDIsation des agents ayant travaillé pendant la durée requise sur le même poste de travail avec plusieurs employeurs (une simple modification de l'article 8 de la loi pourrait être adoptée dans le cadre du collectif budgétaire pour lever l'ambiguïté de cet article de la loi)
    •  Des processus de titularisation sur les lieux de travail doivent être mis en place pour les agents éligibles de toutes les nationalités et catégories de personnels, y compris les catégories A+ (ingénieurs de recherche, chercheurs, enseignants, enseignants-chercheurs,…) avec autant de postes supplémentaires que d'agents éligibles et, si nécessaire, les créations de corps d'accueil. Cela implique des transferts budgétaires dont les crédits de l'ANR et le relèvement des plafonds d'emplois
    •  Le renouvellement des contrats de tous les agents non titulaires sur emplois permanents dans les établissements de l'ESR
    •  L'ouverture rapide de négociations pour un plan de titularisation de tous les personnels exerçant des fonctions pérennes

    Un Comité Technique ministériel qui doit traiter de mesures concernant les non titulaires se réunit le 5 Juillet en présence de la ministre.

    Les syndicats et associations de l'ESR soussignés
    appellent les personnels de l'ESR,
    et en particulier les non titulaires,
    à s'exprimer pour faire entendre leur exigence de changement.
    Soyons nombreux devant le ministère, rue Descartes, le 5 juillet à 9 heures

    En région : Envoi de fax et de courriels au ministère ; avec si possible organisation de délégations dans les établissements.

    Premiers signataires : CGT (SNTRS,CGT-INRA,FERC-SUP), FSU (SNESUP, SNCS, SNASUB),CFTC-INRA,SNPREES-FO,UNSA(SNPTES,SUP-RECHERCHE), SLU, SLR

    Paris, le 29-06-2012.

    Reference : http://www.inra.cgt.fr/actualites/messages/02juillet12.htm

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  • Commentaire repris sur le site : http://jcgawsewitch.com/livre.php?id_livre=283

     

    Argumentaire

      Quand "intérêts financiers" rime avec "précarité des salarié" Avec la crise économique et financière qui n’en finit plus, force est de constater que la précarité du travail se banalise. Les salaires et les acquis sociaux sont menacés. Dans le secteur privé, le contrat à durée indéterminée est balayé au profit des CDD, de l’intérim, de l’intermittence ou toute autre « innovation » qui permet de réduire les effectifs du jour au lendemain. Dans la fonction publique, 5 millions de salariés, de l’éducation à l’hôpital en passant par la territoriale seront supprimés. Des écoles à Peugeot en passant par IBM par exemple, la précarité est souvent préconisée comme soupape en lieu et place d’une véritable politique d’emploi. Et lorsque cela ne suffit pas, la loi est détournée pour permettre de se défaire des salariés comme de vieux kleenex usagés. Evidemment, cela concerne le niveau de vie des citoyens, mais en outre, le travail lui-même s’en ressent… A l’heure du combat contre les déficits et contre la dette souveraine, Nicolas Sarkozy et François Hollande ne pourront contourner ce sujet qui effraie tant de français. Fatalité ? Ou plutôt choix de société impulsé par les sommets de l’état au profit des actionnaires, des directions générales ? Jacques Cotta illustre son analyse avec des cas concrets de politiques des ressources humaines alarmantes et dégage des pistes qui devraient permettre de privilégier enfin le travail et l’intérêt collectif. • A déjà publié en janvier 2011, « Qui veut la peau des services publics », aux éditions J.C. Gawsewitch

     

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  • Retraites : l’espérance de vie des plus pauvres est-elle en train de reculer ?
    PAR RACHEL KNAEBEL (7 JUIN 2012)

    La retraite à 60 ans pour celles et ceux qui ont commencé à travailler très jeunes vient d’être rétablie par décret. Mais les inégalités devant la mort – et donc la retraite – demeurent : les ouvriers vivent en moyenne six ans de moins que les cadres. L’espérance de vie sans incapacité a diminué en France. En Allemagne, où les bas salaires se massifient, les plus pauvres ont même perdu deux ans d’espérance de vie alors qu’ils travaillent plus.

    Lire la suite sur le site Bastamag.

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  • Lire : Vote par Internet : Un informaticien révèle une faille (France Soir, 29/05/12)

    Le ministère des Affaires étrangères se voulait rassurant sur la fiabilité du dispositif. Un jeune informaticien nantais a prouvé qu'il était possible de truquer le vote par Internet mis à disposition des Français de l'étranger. 

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  • Après cinq ans de politique sarkozyste désastreuse pour l’enseignement supérieur et la recherche,  l’élection de François Hollande, nouveau Président de la République, ouvre des perspectives nouvelles. Des réformes d’importance sont nécessaires, qui nécessitent réflexion approfondie associant tous les acteurs et négociations avec les organisations syndicales. Elles passent par l’abrogation de la loi LRU et du Pacte Recherche et leur remplacement par de nouvelles dispositions législatives, définissant notamment un cadre national d’affectation des moyens, respectant la collégialité et la vie démocratique des établissements, et permettant la rédaction de tout autres textes statutaires. L’impulsion d’une nouvelle dynamique pour l’enseignement supérieur et la recherche passe aussi par l’abandon de la mise en concurrence systématique (LabeX, IdeX, gestion des personnels à la performance, …), par la résorption de la précarité et un plan pluriannuel de création d’emplois à la hauteur des besoins.

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  • Le Syndicat National CGT de l’Institut National de la Recherche Agronomique (CGT-INRA) apporte son soutien total et son salut fraternel aux salariés de l’usine Fralib de Gémenos, en lutte avec leur syndicat CGT pour la défense de leur outil de travail produisant les thés Lipton et les tisanes de la marque ‘L'Eléphant’.

    Le patronat du trust Unilever, dont dépend la direction de Fralib, entendait ces jours-ci démonter et déménager l’outil de production. Les salariés ont mis cette opération en échec et sauvegardé leur usine, repoussant sans heurts ni violences la milice privée chargée d’imposer ce déménagement.

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  • Samedi 19 mai de 9h30 à 12h30, salle AR201, bâtiment de l'Arche de l'Université du Mirail (UTM), Mohamed Fayçal Touati donnera un séminaire - débat sur "Quantité et qualité chez Hegel et Lénine" (cette conférence fait suite à "Hegel 1805 : la nécessité de la Terreur et sa possible dérive")

    Mardi 22 mai à 20h30, au restaurant Rincon Chileno (métro St Cyprien), Les Amis du Diplo et FAL invitent Modesta Suarez sur "Larguer les amarres, poètes latino-américains en partance"

    Jeudi 24 mai à 20h30, au Sénéchal, ATTAC, l'UPT, Les Amis du Diplo et le cercle Condorcet invitent G. Filoche sur "Le droit du travail en France et en Europe face au chantage à l'austérité et à la dette". 

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  • [Vient du site de Arrêt sur Image]

    Assiste-t-on à une remise en cause générale du système de publication des recherches scientifiques sur la planète ? Le gouvernement britannique vient d’appeler à la rescousse le fondateur de Wikipédia pour mettre en place un système de diffusion en ligne des travaux des chercheurs britanniques, financés par l’argent public.

    C’est le dernier épisode d’une guerre ouverte entre la communauté scientifique et les éditeurs de revues. Le Guardian compare même ce “printemps académique” au printemps arabe de l’année 2011. Et il est vrai qu'à l’échelle de la communauté scientifique, c’est peut-être bien une révolution d’une ampleur comparable aux soulèvements des peuples méditerranéens.

    Lire la suite sur le site d'Arrêt sur Image. (16/05/2012)

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